Laique, je ne possède rien, Que mes proses et mes liens, Généralement virtuels, Ca me rend sensuel, Mais attends, est-ce le temps ? J’y pense pas, ca me rend Un débrit de chaos, Organisé, Mais qui tombe à l’O, De l’espoir ou du pouvoir ? J’ai pas de réponses, je laisse tomber.
Noyé dans le sourir des gens, J’hésite, Tout tourne, tout bouge, Lumière, prière et poussière Des regards qui s’engoufrent, Creusant au fond de se vide, un amalgame de souvenir, cerné par des lignes d’horizon
Embaumé de ses parfums timides, J’exploitais la profondeur de cette piece vide, Un ombre, un son, un geste, Je cherchais, mais ce qui reste Est un fragment de mémoire, Naïf, brut, sans revoir Mes desirs qui songent et sombrent, Je restais l’homme qui a perdu son ombre;
Je respirais ses doux mensonges, Qui s’enchevetraient sur mes proses, Sucrés, au gout d’un ancien vin, Seul, paralysé, je devins, Dans un silence plein d’amertume, Un radeau flottant dans le néan, Qui s’écoule envers elle
(2/7) At first was a violin; alone it stood in the void. Then came the orchestra, a fusion of heavenly voices played along, trying to keep it real, straight forward and grounded.
(5/7) Beyond the society, beyond the world…. beyond imagination, it grew all alone, a narcissist magnificence contemplating its immortal beauty…. That extended throughout the void…